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Olivier Létang fait le point sur le mercato du LOSC

Joseph Da Rocha

Publié

le

Crédit Photo : IconSport

En conférence de presse, le président des Dogues Olivier Létang est revenu sur le mercato d’hiver des Dogues.

Pour Olivier Létang, il est « hors de question qu’on perde des éléments qui nous rendrait moins performants ». Ainsi, face à la rumeur de départ de Timothy Weah, le président du LOSC a souhaité clarifier la situation : « Timo va bien. Il est en capacité de jouer à plusieurs postes. Notre volonté est de le garder. Avec Paulo, on n’est pas des grands fans de ce mercato. Il faut intégrer des joueurs dans un système de jeu particulier. On est en éveil pour éventuellement regarder si quelqu’un peut nous apporter quelque chose. On a un effectif qui a de la gueule, il est compétitif. On n’a pas de phénomène d’urgence. Il faut des garçons qui arrivent avec la capacité à jouer, à être fit, avec la bonne mentalité ».

Pour Isaac Lihadji, la situation est différente, et l’ailier lillois pourrait bien partir dès cet hiver : « Il y a eu des sollicitations. Je n’ai rien contre lui, j’espère qu’il pourra retrouver un club qui lui permettra de retrouver du temps de jeu. Il a un intérêt d’un club, qu’il a rencontré dimanche dernier. Il y a des échanges et des discussions ».

Après l’appel du pied de Nabil Bentaleb il y a quelques jours, le président lillois a aussi dû apporter son point de vue sur la situation : « On a un milieu de terrain qui est très fourni. Il y a déjà du monde. Si on prend un autre joueur, on créé de la frustration. Ce n’est pas un domaine où on est en éveil. Jonas (Martin) est très important dans les semaines de travail. Il faut être bien challengé à l’entraînement. Il y a forcément de la frustration de ne pas jouer le week-end, mais ce serait un problème que ce soit le contraire. Il répond présent pour pousser les autres joueurs à être meilleurs ».

Olivier Létang a rappelé que la stratégie du club devait permettre aux jeunes Dogues de s’exprimer, sans qu’ils soient barrés en équipe première, en prenant l’exemple de Carlos Baleba : « Carlos est arrivé il y a un peu plus d’un an. Avant même qu’il arrive, on avait un plan pour lui, dont on avait parlé à ses parents. On avait une vraie responsabilité. Déraciner un petit camerounais qui arrive dans le Nord de la France, ce n’est pas évident pour lui. On a souhaité l’intégrer culturellement, il devait être bien dans sa vie d’homme avant d’intégrer l’équipe première. Il y a toujours un décalage entre le potentiel et ce que l’on peut faire. On a beaucoup travaillé pour l’intégrer. On est très paternaliste, très protecteurs. Il a un potentiel très important. Il apprend beaucoup de garçons comme Benjamin. Le plus dur, c’est de performer dans le temps. Ça fait partie de notre stratégie dans la formation. On a de formidables installations. Il faut laisser de la place aux jeunes joueurs, on l’avait fait à Rennes, mais il faut aussi qu’ils aient le niveau pour jouer la qualification à l’Europe et gagner des titres. Leny (Yoro) et Carlos (Baleba) sont de bons exemples ».

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