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La belle image de Sofiane Boufal (ex-LOSC) avec sa maman après la qualification du Maroc pour les demi-finales de la CDM 22

Publié

12 décembre 2022

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Crédit photo: IconSport

Le Maroc de Sofiane Boufal est qualifié pour les demi-finales, face à la France ce mercredi. Une fierté et un grand moment pour lui, qu’il a souhaité exprimer sur les réseaux sociaux à travers une photo avec sa maman.

Peu de gens les attendaient là mais ils l’ont fait. Les Marocains sont qualifiés pour les demi-finales de la Coupe du Monde. C’est la première équipe africaine à arriver à ce stade de la compétition. Et s’il y a bien un joueur qui est un grand acteur de ce parcours historique, c’est Sofiane Boufal, Dogue de 2015 à 2016. Après la victoire des siens face au Portugal, le joueur angevin a partagé une photo sur les réseaux sociaux, avec sa maman.

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Si le milieu de terrain se montre en photo avec sa mère, c’est parce qu’elle occupe une place essentielle dans sa vie. Sofiane Boufal l’avait dit dans une interview en 2021 : « Ma mère, c’est ma base, c’est mon poumon ». Sa maman a toujours été très importante dans ses choix : « Je lui ai demandé de me suivre quand j’ai signé au LOSC. J’ai besoin d’elle pour réussir. Ses conseils me sont très précieux. Elle regarde mes matchs à la maison. Vous savez, je suis très famille et j’ai besoin de ça pour avancer ».

Depuis tout jeune – comme l’ancien lillois l’explique à So Foot – sa mère a toujours été là pour lui et l’a soutenu. Une façon pour Sofiane Boufal de la remercier : « À 16 ans, 18 ans, il n’y avait pas de cinémas, de meufs, de soirées ou de boîtes. C’était seulement football, football, football. Moi je voyais ma mère partir à 6 heures du matin au travail. Du coup, je ne voulais pas tout gâcher surtout en sachant que j’avais du talent. Quand quelqu’un sacrifie sa vie pour toi, c’est le minimum. J’étais obligé de finir pro pour elle. Quand j’ai signé au SCO mon premier contrat, je ne gagnais pas grand-chose, mais dans tous les cas, je ne prenais que 200 euros pour me faire plaisir. Tout le reste, c’était pour ma mère ». Cette qualification était donc un moment unique qu’il se devait de partager avec celle qui l’a mis au monde.